J’ai du mal avec le fait que l’on trimballe Anis Ben Slimane sur un côté avec la Tunisie.

La Tunisie a un public exceptionnel.

Les joueurs savent ce qu’ils ont à faire contre l’Afrique du Sud. J’espère qu’on va apprendre de nos erreurs durant notre parcours à la CAN.

J’espère que la prochaine fois on ne jouera plus en réaction à quelque chose, qu’on ouvrira le score les premiers et qu’on imposera un style de jeu beaucoup plus offensif.

Le pressing c’est vraiment un concept flou depuis des années avec la Tunisie.

La bonne mentalité.

La Tunisie contre le Mali c’est aussi 5 tirs/1 cadré : c’est très faible comme proposition dans le contenu d’un jeu sur 90 minutes.

Les discours des joueurs c’est beau, la réalité du terrain c’est vraiment tout autre chose.

Sayfallah Ltaief qui te fait souvent des différences n’a jamais été titulaire à la CAN.

La Tunisie a été ridicule du début à la fin.

La remise en question elle a intérêt à arrivé fort, autrement ça va être drôle lors des qualification en Coupe du Monde 2026.

Moins de populisme, plus de travail SVP.

La honte !

Un manque de respect pour tout les tunisiens qui se sont déplacés en Côte d’Ivoire.

La Tunisie en 2 ans : - Barrages CM : 1 CSC - CM : 1 but - CAN : 1 but - 8 matchs/3 buts

La première du puzzle c’est un nouveau président de la FTF dans une gouvernance seine et avec une vision d’avenir pour le football en Tunisie. Et c’est minimum 10 ANS.

Houcine Jenayah parle comme si il s’incluait dans le futur du football en Tunisie. Lui et toute sa clique c’est minimum cinq ans d’inéligibilité de fonctions sportives pour l’ensemble de leurs œuvres destructrices.

Le constat du football en Tunisie on le connaît tous. Maintenant il faut des actes radicaux, des changements profonds et peut-être qu’à partir de là on pourra commencé à avancé.

Depuis 2012, le football en Tunisie est une coquille vide sous l’égide d’un système corrompu. Un seul stade homologué par la CAF. Deux participations en Coupe du Monde cache misère. Une quarantaine de clubs endettés. Douze ans qu’on brasse du vent.

Le constat de Tarek Dhiab.