Twitter Beğeni Hilesi

Ce qui touche le spectateur, ce n'est pas tant la subtilité des idées du cinéaste (rarement comparables à celles du grand romancier) que la puissance avec laquelle il les incarne, et les représente, souvent loin du chemin des mots.

Un lyrique peut-il trouver son compte dans Rabelais ?

Je prépare Megalopolis...

Les pages que Berthomieu consacre à Coppola dans "Le temps des mutants"...

Voilà qui donne envie de lire Edgar Poe.

Aucun plaisir littéraire quand c'est traduit ainsi.

Faites tout le contraire, et cessez de vous demander si les films sont prétentieux. Proust est-il prétentieux ? Et Joyce ? Et Shakespeare ? Et Rembrandt ? Visez plus haut, contre l'aridité des avis fades.

À tous ceux qui me suivent : beaucoup de fautes et d'erreurs dernièrement. Je vous prie de m'en excuser.

J'ai passé plusieurs mois à ne plus me soucier du cinéma, et dès que j'y repense un peu, je ne vois qu'un horizon triste et peut-être une fin. Vraiment, quel art a si tôt été menacé par des moyens technologiques de dépassement de ses fonctions ? a été si soumis à l'industrie ?

Compagnons de voyage.

#Megalopolis résiste bien à un second examen, et ses envolées, ses brisures, ses folies conservent leur beauté. Le film n'est pas, dans sa construction, si expérimental qu'on pourrait le croire, mais il assemble en une même pièce les espoirs de la forme et le souffle du sens.

Pourquoi regarder #Megalopolis ? Pour voir les moues divines de Nathalie Emmanuel, et l'admirer ceinte d'or, de parures, révélée par des phares derrière une vitre perlée de gouttes. Pour Driver, pour le petit morceau de la 7e de Beethoven, pour la rage d'Aubrey Plaza...

pour la parodie constante des formes de communication et de médiatisation de notre époque, pour les sublimes décors, pour encourager un génie dans sa liberté et sa joie de créer, et pour le remercier, après tant de films magnifiques.

Megalopolis.