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Désireux de bien faire, ces CRS l'invitent à poursuivre ses observations en garde à vue dans les locaux de Police prévus à cet effet. La transparence avant tout !

La preuve que les manifestations sont infiltrées par la Police...

Et peu importe la vérité.

EDM, et avec lui un nombre certain de ses confrères, confond la vérité, absolue, et la façon dont les protagonistes racontent les faits. Chacun, de bonne ou de mauvaise foi, aura sa version de l'histoire. Mais effectivement, ne pas dire la vérité, ce n'est pas forcément mentir.

Sachez-le, quand un individu adopte un comportement désastreux, qui plus est susceptible de caractériser une ou plusieurs infractions pénales, ce n'est pas lui qu'il faut blâmer mais celui qui a permis au plus grand nombre de constater eux-mêmes les faits.

« COMMENT OSEZ-VOUS ? VOUS AVEZ VOLE MES RÊVES ET MON ENFANCE AVEC VOS PAROLES CREUSES ! »

N'est-il pas davantage normal de penser que le ministre de la Justice, comme celui de l'Intérieur d'ailleurs, ne devrait pas avoir connaissance des détails des procédures judiciaires en cours, et ce même s'il devait être interpellé par la Presse ou au Parlement ?

"Si j'y avais été, ils me tuent"...

Dîtes, les collègues, on pourrait arrêter les appels à manifester devant tel ou tel bâtiment quand on a été insulté par un responsable politique ou qu'une décision de la hiérarchie ou de la Justice a déplu ?

Cette remarque prouve, si c'était encore nécessaire, qu'il ne faut pas faire remonter au Ministre de la Justice des informations sur les enquêtes judiciaires en cours.

.Jean-Luc Mélenchon enfonce tranquillement le clou. Et je pense alors à ce cher Alexis Corbière qui a sorti les rames pour essayer d'expliquer, face caméra, que son mentor ne traitait absolument pas les policiers de barbares, qu'il désignait en réalité les "donneurs d'ordre". Soutien.

Chérif et Saïd Kouachi approuvent ce message.

Le concept d'usage légitime de la force (absolument nécessaire et proportionnée) n'est pas étranger à l'intéressé. Il le refuse, tout simplement. Quand l'idéologie domine le discours, il ne reste pas grand chose.

@quid_jus QUE POUR LES JURISTES Ça me rappelle un TD de procédure civile, à propos de la délivrance d’un acte : « Peut-on considérer la prison comme un domicile ? » — un étudiant : « ça dépend du temps qu’on y passe »

Parce qu'on veut plus de LBD et de grenades de désencerclement !

Ou pas.

Je me rends compte que j'ai oublié de vous dire au revoir. Bises. Pas à tous, certains étant franchement insupportables. Ceux pour qui j'ai de l'affection se reconnaitront.