✅ L’ancienne base militaire de Ouakam a enfin été restituée à l’État sénégalais. Plus de 2 500 personnes ont déjà signé la pétition pour qu’elle devienne un parc public. Ce chiffre montre un besoin partagé : un espace vert, ouvert et accessible, au cœur de Dakar. 🌿

By Respirons Dakar Vous pouvez toujours signer et partager la pétition 👇🏾 chng.it/wMgmhk6jNQ

#RT S’il y a parmi vous des personnes à l’aise devant la caméra, des médecins particulièrement intéressés par l’environnement, des personnes sensibles à la poussière ou asthmatiques, merci de nous envoyer un message privé. Nous avons quelques questions à vous poser.

Dieu seul sait ce que cet homme est en train de vivre au fond de son cœur. Qu’ALLAH lui vienne en aide ainsi qu’à tous les sinistrés qui n’ont pas eu la chance de s’exprimer devant les médias. Entendre son récit a réveillé en moi des souvenirs assez douloureux. (1)

Chaque jour, en tant que grand garçon de la maison, je marchais dans cette eau sale pour aller chercher du pain ou passer à la boutique. De retour, je me lavais les jambes à l’eau de Javel. C’était devenu ma routine. Mais le plus dur restait le sous-sol de notre maison. (5)

Quand mon père est descendu, l’eau atteignait déjà 1,75 m, puis a envahi la cour extérieure. Il n’y a pas pire sentiment que de voir le chef de famille être dépassé par les événements. Les prise électriques étaient sous l’eau. Impossible d’atteindre le compteur (8)

Trois congélateurs flottaient. Fauteuils, matelas, panneaux solaires neufs, matériel de chambre froide… des millions destinés au verger engloutis dans un mélange d’eau pluviale et d’égouts. (9)

Cette nuit-là, j’ai vu mon père, malgré ses lombalgies, soulever des sacs de sable la douleur sur son visage. J’ai vu mes petites sœurs transporter à 2 sous la pluie des sacs plus lourds qu’elles. Cette image m’a marqué au fer rouge, gravée à jamais dans ma mémoire. (10)

Autour de nous, des familles avaient vu l’eau envahir leurs chambres. Pour notre cas, seul le sous-sol et l’entrée étaient touchés, mais nos espaces de vie étaient épargnés. Qui étions-nous pour nous plaindre quand nos voisins, eux, avaient tout perdu ? (12)

Les voisins sortaient à toute heure pour vérifier les portes. C’était notre quotidien en saison pluviale de 2013 à 2021. Pourtant, le maire de l’époque, Diouf Sarr, savait. Tout le monde savait. Mais rien n’a jamais été fait. Nous étions livrés à nous-mêmes (14)

Pourtant il aura fallu d’une seule annee au nouveau maire, Seydina Issa Laye Sambe, pour régler ce problème. Il a installé les canalisations qui conduisent l’eau vers la mer et il veille chaque année au nettoyage des tuyaux avant l’hivernage. (15)

Aujourd’hui, ces souvenirs restent gravés comme des cicatrices. Certes, les inondations appartiennent au passé, mais chaque pluie réveille encore une vigilance maladive. Personne ne dort, Comme si la peur ne nous avait jamais quittés. (16)

Le secteur Environnement de NUUR rouvre ses portes 🤩 Nous recherchons 10 bénévoles désireux de mettre leurs compétences, leur énergie et leurs idées au service du collectif. 🌍 Prêts à vous engager activement ? Inscrivez-vous dès maintenant via ce lien: forms.gle/cFuuU8AecHpDU8…

THREAD les chiffres clés à retenir retenir du rapport d'exécution u budget du Sénégal 2ème Trimestre 2025👇 Les recettes de l'État : d'où vient l'argent ? Les dépenses : où va l'argent public ? L'équilibre budgétaire, quel est le déficit ? Comment l'État finance-t-il ce déficit

On échange avec le ministre de l’Agriculture et l’Elevage sur Vie-Publique SN

Le but du kankourang Avant tout c’est culturel (culture manding) c’est pour protège les circoncis…en période de lelleu ndiouli yeup si aleu bi laniouy neik ay jour voir mee un mois ak seni selbe et je sais pas si vous le savez mais ndiouli dafay fragile (gawa febar 1/6