
Philippe Rouyer
@philippe_rouyer
Diffuseur de passion cinéphile à @CercleCanalplus. Et aussi à @Psychologies_ et #MauvaisGenresFC sur @FranceCulture. Directeur de @RevuePositif avec N.T. Binh
ID: 3772814237
25-09-2015 16:32:02
23,23K Tweet
43,43K Takipçi
2,2K Takip Edilen

Des nouvelles des étoiles… La filmo de Terence Stamp couvre 6 décennies. En marge de ses grands rôles (L’Obsédé, Théorème), il faut le redécouvrir dans des pépites comme «Pas de larmes pour Joy» (Ken Loach), «Toby Dammit» (Fellini) ou «L’Anglais» (Soderbergh) Christian & Vincent


L’homme qui ne riait jamais… Blanc comme l'albâtre, avec des yeux sombres et félins et des pommettes finement sculptées, le visage de Buster Keaton était capable d'une vaste gamme d'expressions tout en suggérant l'isolement, la solitude voire même le désespoir Philippe Rouyer



L’homme qui ne riait jamais… C’est pour mieux appuyer ses effets comiques que Buster Keaton restait de marbre à l’écran. Mais avant de maîtriser son personnage, il riait volontiers dans ses premiers films comme ici dans «Fatty à la fête foraine» (1917) Christian & Vincent

Autant en apporte Ozon… Romola Garai est Angel Deverell dans “Angel” (F Ozon 2007) Ozon ausculte les rapports entre l’inspiration, le processus de création & la réception de l’œuvre, double le tout d’une réflexion esthétique et signe là un de ses meilleurs films Philippe Rouyer




Autant en apporte Ozon… Cinéaste prolixe (quasi un film par an depuis 1998), François Ozon est aussi un formidable directeur d’actrice. Il a contribué à relancer la carrière de Charlotte Rampling avec «Sous le sable» (2000) où il a rappelé sa magnétique présence Christian & Vincent



Un ciel peut en cacher un autre… Ne pas confondre “Le ciel peut attendre” d’Ernst Lubitsch (1943) avec le film homonyme de et avec Warren Beatty (1978). Ce dernier n'a aucun rapport car il est le remake du “Défunt récalcitrant” d'Alexander Hall réalisé en 1941 Philippe Rouyer



Ne pas se tromper de sens… Il faut distinguer «Sixième sens» de M Night Shyamalan, avec Bruce Willis et Haley Joel Osment, le petit garçon qui voit des gens mort et «Le Sixième sens» de Michael Mann, première adaptation au cinéma du personnage d’Hannibal Lecter Christian & Vincent



Bien monté… Fritz Lang confirme avec “Docteur Mabuse le joueur” (1922) qu'il est un créateur de génie et un maître de l'expressionnisme allemand. Remarquable par son montage créatif, ce film inaugure une nouvelle dimension de la narration cinématographique Philippe Rouyer

Bien monté… «Le Cuirassé Potemkine» (1925) doit une partie de sa renommée à son travail de montage. Eisenstein, son réalisateur y a synthétisé toutes ses théories sur «le montage des attractions» : utilisation du gros plan, effets de montage parallèle et alterné Christian & Vincent



Déjà vu… Buster Keaton dans “Cops !” (1922) versus Andrew Garfield dans “The Amazing Spider-Man” (2014) ou comment Buster Keaton accordait vitesses et mouvements et de faisait fonctionner ensemble affects et efforts. En 1920 les effets spéciaux n’existaient pa! Philippe Rouyer


Au #SondageCaretteDalio de Merlin Philippe, mon vote au chef-d’œuvre de Jean Renoir «La Règle du jeu». Marcel Dalio et Julien Carette y offrent une de leurs meilleures prestations. Le premier en marquis qui cache la profondeur de ses sentiments, le second en truculent braconnier
