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(France Unie Et Puissante) #FUEP Pas un parti. Une alternative populaire. đŸ‡«đŸ‡·đŸ‡ŹđŸ‡«đŸ‡ŹđŸ‡”đŸ‡ČđŸ‡¶đŸ‡·đŸ‡ȘđŸ‡ŸđŸ‡čđŸ‡”đŸ‡ČđŸ‡§đŸ‡±đŸ‡žđŸ‡œđŸ‡”đŸ‡«đŸ‡ŒđŸ‡«đŸ‡­đŸ‡čđŸ‡łđŸ‡šđŸ‡«đŸ‡· ✝

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L’industrie qu’on a laissĂ©e fuir Ils fabriquaient des piĂšces, des moteurs, des machines. Leur savoir tenait dans leurs mains calleuses, dans leurs gestes prĂ©cis, dans le bruit des chaĂźnes et des marteaux. C’était des usines pleines de vie, des quartiers qui tournaient autour des

L’industrie qu’on a laissĂ©e fuir

Ils fabriquaient des piĂšces, des moteurs, des machines.
Leur savoir tenait dans leurs mains calleuses,
dans leurs gestes précis, dans le bruit des chaßnes et des marteaux.
C’était des usines pleines de vie,
des quartiers qui tournaient autour des
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DĂ©putĂ©s dĂ©connectĂ©s Yann travaille dans une casse auto Ă  Saint-Étienne. Il finit Ă  18h, rentre crevĂ©, allume la tĂ©lĂ©. Il tombe sur l’AssemblĂ©e : des costumes bien taillĂ©s, des dĂ©bats sur des amendements qu’il ne comprend plus. Il Ă©coute. Il veut comprendre. Mais il sent que

Députés déconnectés

Yann travaille dans une casse auto Ă  Saint-Étienne. Il finit Ă  18h, rentre crevĂ©, allume la tĂ©lĂ©. Il tombe sur l’AssemblĂ©e : des costumes bien taillĂ©s, des dĂ©bats sur des amendements qu’il ne comprend plus. Il Ă©coute. Il veut comprendre. Mais il sent que
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Un projet jamais lancĂ© Ils s’étaient croisĂ©s dans un atelier de PĂŽle Emploi. Lui, c’était Pascal, il a 20 ans, Nouveau, Ă©lectricien. Elle, c’était Chantal, arrivĂ©e de Martinique, avec un diplĂŽme de cuisine et un carnet plein d’idĂ©es. Deux parcours. Deux pays. Une mĂȘme envie : se

Un projet jamais lancé

Ils s’étaient croisĂ©s dans un atelier de PĂŽle Emploi.
Lui, c’était Pascal, il a 20 ans, Nouveau, Ă©lectricien.
Elle, c’était Chantal, arrivĂ©e de Martinique, avec un diplĂŽme de cuisine et un carnet plein d’idĂ©es.
Deux parcours. Deux pays. Une mĂȘme envie : se
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Un projet jamais lancĂ© Ils s’étaient croisĂ©s dans un atelier de PĂŽle Emploi. Lui, c’était Pascal, il a 20 ans, Nouveau, Ă©lectricien. Elle, c’était Chantal, arrivĂ©e de Martinique, avec un diplĂŽme de cuisine et un carnet plein d’idĂ©es. Deux parcours. Deux pays. Une mĂȘme envie : se

Un projet jamais lancé

Ils s’étaient croisĂ©s dans un atelier de PĂŽle Emploi.
Lui, c’était Pascal, il a 20 ans, Nouveau, Ă©lectricien.
Elle, c’était Chantal, arrivĂ©e de Martinique, avec un diplĂŽme de cuisine et un carnet plein d’idĂ©es.
Deux parcours. Deux pays. Une mĂȘme envie : se
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Des couples qui se brisent Ils s’aimaient. Pas Ă  moitiĂ©. Pas par jeu. Ils s’aimaient pour de vrai. Avec des projets dans les yeux, des rĂȘves Ă  deux, des “on va y arriver” murmurĂ©s sous les draps. Mais la prĂ©caritĂ© est une tempĂȘte silencieuse. Elle n’éclate pas d’un coup. Elle

Des couples qui se brisent

Ils s’aimaient.
Pas à moitié. Pas par jeu.
Ils s’aimaient pour de vrai.

Avec des projets dans les yeux,
des rĂȘves Ă  deux,
des “on va y arriver” murmurĂ©s sous les draps.

Mais la prĂ©caritĂ© est une tempĂȘte silencieuse.
Elle n’éclate pas d’un coup.
Elle
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Les mains qui soignent
 mais qu’on blesse. Claire est infirmiĂšre libĂ©rale depuis 20 ans. Elle connaĂźt les visages Ă  6h du matin, les dos usĂ©s, les piqĂ»res dans l’ombre, les urgences sans appel. Elle soigne, elle panse, elle Ă©coute. Et elle recommence. Chaque jour. Sans se

Les mains qui soignent
 mais qu’on blesse.

Claire est infirmiÚre libérale depuis 20 ans.
Elle connaĂźt les visages Ă  6h du matin, les dos usĂ©s, les piqĂ»res dans l’ombre, les urgences sans appel.
Elle soigne, elle panse, elle écoute.
Et elle recommence. Chaque jour. Sans se
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QUAND LA PEUR GOUVERNE, LA VÉRITÉ S’ÉLOIGNE Quand la pensĂ©e s’émancipe, la peur revient au centre du jeu. Des empires se sont effondrĂ©s parce qu’ils ont sous-estimĂ© un peuple Ă©veillĂ©. Aujourd’hui encore, la guerre devient un langage universel quand le dialogue faiblit. Mais

QUAND LA PEUR GOUVERNE, LA VÉRITÉ S’ÉLOIGNE

Quand la pensĂ©e s’émancipe, la peur revient au centre du jeu.
Des empires se sont effondrĂ©s parce qu’ils ont sous-estimĂ© un peuple Ă©veillĂ©.
Aujourd’hui encore, la guerre devient un langage universel quand le dialogue faiblit.
Mais
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LES PEUPLES S’ÉVEILLENT, LES PUISSANTS VACILLENT Quand les peuples s’éveillent, rĂ©flĂ©chissent, contestent, certains gouvernements rĂ©agissent non par le dialogue, mais par la peur. La guerre devient alors un outil de contrĂŽle, un prĂ©texte Ă  l’unitĂ© forcĂ©e. Non pour protĂ©ger, mais

LES PEUPLES S’ÉVEILLENT, LES PUISSANTS VACILLENT

Quand les peuples s’éveillent, rĂ©flĂ©chissent, contestent, certains gouvernements rĂ©agissent non par le dialogue, mais par la peur. La guerre devient alors un outil de contrĂŽle, un prĂ©texte Ă  l’unitĂ© forcĂ©e. Non pour protĂ©ger, mais
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Votez si vous voulez. C’est dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ©. đŸŽ© Le peuple votera, dĂ©battra, criera peut-ĂȘtre
 Mais dans les couloirs feutrĂ©s de la RĂ©publique, tout est dĂ©jĂ  calĂ©. Édouard Philippe, figure calme, posĂ©e, rassurante pour les Ă©lites, a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© sans l’ĂȘtre. Le scĂ©nario est Ă©crit,

Votez si vous voulez. C’est dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ©.

đŸŽ© Le peuple votera, dĂ©battra, criera peut-ĂȘtre

Mais dans les couloirs feutrés de la République, tout est déjà calé.

Édouard Philippe, figure calme, posĂ©e, rassurante pour les Ă©lites,
a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© sans l’ĂȘtre.
Le scénario est écrit,