Les actes de Kamerhe confirment les conséquences de ses choix : il a préféré sortir par la petite porte et protéger son magot plutôt que sa légitimité. Au Congo, ́l’amour de l’argent pèse souvent plus que la raison, et céder à cette tentation peut coûter honneur et vrai pouvoir.
Les actes de Kamerhe confirment les conséquences de ses choix : il a préféré sortir par la petite porte et protéger son magot plutôt que sa légitimité. Au Congo, ́l’amour de l’argent pèse souvent plus que la raison, et céder à cette tentation peut coûter honneur et vrai pouvoir.
Au Congo, les marionnettes reconnaissent la main qui tire les fils. L’UDPS, bras invisible de Tshilombo, s’avance pour abattre Kamerhe, tandis que ceux qui ont plu au maître comme Mboso restent intouchables. Loyauté ici se paie en obéissance, pas en justice : Kamerhe en exemple.
Félix Tshisekedi peut bien rêver d’une Constitution taillée à sa mesure, mais il oublie que le Congo n’est pas un terrain d’essai. Si Nangaa n’atteint pas Kinshasa, c’est le peuple lui-même qui se lèvera comme un seul homme, rappelant à Tshisekedi ce qui est arrivé à Kabila.
Hier maître du feu et défi, Kamerhe se retrouve aujourd’hui clown sur la scène de sa propre chute. Où est le tacticien qui faisait trembler Kabila, un régime en 2015 ? Le gars a capitulé, et il faut saluer le génie de Tshilombo, architecte invisible de l’élimination ses ennemis.
Kamerhe jadis foudre qui secouait un régime en 2015 se voit réduit à pantin sur la scène de sa propre chute. Le lion a capitulé. Il faut reconnaître le génie de Tshilombo, stratège invisible qui manie le pouvoir comme un maître d’échecs, éliminant ses ennemis sans lever le doigt.
Kamerhe jadis foudre qui secouait un régime en 2015 se voit réduit à pantin sur la scène de sa propre chute. Le lion a capitulé. Il faut reconnaître le génie de Tshilombo, stratège invisible qui manie le pouvoir comme un maître d’échecs, éliminant ses ennemis sans lever le doigt.
Hier maître du feu et défi, Kamerhe se retrouve aujourd’hui clown sur la scène de sa propre chute. Où est le tacticien qui faisait trembler Kabila, un régime en 2015 ? Le gars a capitulé, et il faut saluer le génie de Tshilombo, architecte invisible de l’élimination ses ennemis.
Pourquoi ne pas en finir tout de suite avec lui, en lui injectant directement une substance létale pour qu’il meure, au lieu de le faire souffrir ainsi, puisque c’est apparemment ce que vous cherchez ?
Les pantins savent qui manie les ficelles. L’UDPS, bras secret de Tshilombo, s’avance pour écraser Kamerhe, tandis que ceux qui ont séduit le maître par leur docilité, comme Mboso, restent à l’abri. Ici, la loyauté se monnaie en obéissance, pas en justice : Kamerhe en vitrine.
Fatshi a tout tué du jeune monsieur surdoué que le Congo a connu lors du dialogue de Sun City, au point d’accepter de jouer au clown dans le scénario de sa propre destitution. Il faut reconnaître la touche extrêmement machiavélique, à la Titus, qu’a le fils du Sphinx, Tshilombo.
Parce que l’argent de sa douane construit des villas à Marbella et à Bruxelles, et remplit des comptes bancaires en Suisse et à Dubaï, alors que Kasindi verse des rivières d’or et engraisse l’État de millions chaque mois.
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Ce n’est plus une pensée, c’est une évidence : le peuple sait que vous êtes non seulement des inconscients, mais aussi des incompétents, et il le ressent avec une lucidité affûtée et un cynisme brûlant.
Ce n’est plus une pensée, c’est une évidence : le peuple sait que vous êtes non seulement des inconscients, mais aussi des incompétents, et il le ressent avec une lucidité affûtée et un cynisme brûlant.
Seul celui qui mange à la table du pouvoir peut se permettre de trouver “choquants” les mots qui décrivent la souffrance et la misère du peuple. Tu montres une domestication de ton indépendance par le pouvoir. Triste que ça ne te dise rien que le Congo soit occupé actuellement.
La tyrannie de Tshilombo atteint des sommets inimaginables. Le Congo est une proie à ciel ouvert : chaque mot, chaque geste du citoyen est une épée de Damoclès. Jamais notre pays n’a connu une dictature aussi féroce, capable de tirer sur des enfants et piller des appartements.
Ces gens qu'on appelle député ont la grandeur d’âme d’un escargot : pendant que l’Est est en flammes, que le sang coule et que le peuple crie, eux s’accrochent à leur ventre et leur salaire, détournant le micro de la souffrance réelle pour servir leur petit confort, pitoyables !.
She’s not just celebrating a New Year, she’s celebrating time itself. Ethiopia’s 2018 reminds us that calendars are more than dates: they’re culture, memory, and identity. And she brings it all to life with joy, song, and undeniable grace. Their New Year coincides with the end