Exactly: if all human language inevitably yields paradox before the Transcendent, then turning one specific paradox (the Trinity) into a mandatory dogma makes no sense. Apophatic theology embraces this limit, the Trinity freezes it into definition.

No, apophatic theology doesn’t say “the absurd is true because it’s absurd”, but that the Mystery transcends our categories and cannot be locked into a contradictory dogma. To turn incoherence into dogma is not to transcend logic, it is to violate it.

La plus grande partie des hommes qui habitent nos villes sont abaissés par l'indigence à ce dernier degré de l'avilissement, où l'homme, absorbé tout entier par les soins qu'exige la conservation de son existence, est incapable de réfléchir sur les causes de ses malheurs et de

But precisely: “relation” is already a human category. The Absolute One doesn’t need an “Other” to be fullness. To say God must be “relational” in order to love is to project our human limits onto Him. Apophatic theology refuses this projection

Exactly: if all language falls back into duality, multiplying categories (3 persons, internal relations, etc.) only deepens the trap. Apophaticism doesn’t “solve” it, but it avoids projections. Radical Unity is truer to Transcendence than Trinitarian complexity.

Agreed, humility is essential before the Ineffable. I only hold that Radical Unity safeguards the mystery more consistently than the Trinitarian construct. It’s less a theory than a posture: not multiplying where the One is sufficient.

Apophatic unity doesn’t lock the treasure away, it shows that the key isn’t in concepts but in inner experience. The mystery isn’t inaccessible, only beyond the reach of language.

l'Italie :

Les Aztèques avaient des villes plus grandes que Paris quand l’Europe se vidait avec la peste. Mais vas-y, continue à croire que la colonisation “civilise”.

Les conquistadors n’ont pas gagné grâce à leur “supériorité”, mais grâce à des alliances indigènes + la variole. C’est plus de la chance que du génie. Si Cortés avait dû affronter seul l’empire aztèque, il n’aurait pas tenu une semaine.

Alors Le Glaive un commentaire ? Les européens ont gagné grâce à la maladie et à des alliances avec des tribus rivales. Comme toujours en divisant et en salissant.

Si tu maîtrisais l’Histoire autant que l’édition d’images, tu éviterais de dire autant de conneries.

Les Aztèques sacrifiaient des humains, les Européens brûlaient des sorcières, massacraient des protestants et vendaient des esclaves. Tu veux vraiment jouer à qui était le plus barbare ?

Droitard le plus malin :

Dire que la disparition des Aztèques prouve leur infériorité, c’est comme dire que la peste noire prouve que l’Europe médiévale était faible

Si les Aztèques ont perdu, c’est pas faute de “se développer”, c’est parce qu’un virus a fait le travail à la place de tes conquistadors. En même temps pourquoi je m'embête à répondre à un nazi moi.

Si c’est ça “l’Art de la guerre poussé à son paroxysme” : perdre la moitié de ses hommes, dépendre d’alliés locaux et d’un virus… alors oui, chapeau l’artiste.

Si “être un orateur exceptionnel” c’est exploiter la haine entre voisins, alors n’importe quel politicien local pourrait être Cortés. Sans la variole et les milliers d’alliés locaux, ton “orateur exceptionnel” serait juste mort dans la Noche Triste.

Les orientalistes ne comprennent rien à la religion, rien à la métaphysique, rien à la théologie.