Un ami a réalisé un court-métrage expérimental dont j'ai eu le plaisir de m'occuper de la musique. N'hésitez pas à aller le soutenir : youtu.be/6qyJoQMatkQ?si…

Beaucoup ont parlé du non-match de Bublik mais c’est d’abord un chef d’œuvre de Sinner cette nuit. Sur les 25 dernières années, sur dur, je ne vois que Djokovic et Federer prime à ce niveau de domination. Vous kiffez le jeu de Jannik ? 🤨🇮🇹

J'ai vu des bouts du match. Son niveau est hallucinant, c'est même pas humain 🤣 et Bublik joue bien, c'est ça le pire (malgré les doubles fautes). Se dire qu'il n'est pas encore à son prime rend ça proprement fascinant.

Djokovic s'est aligné à 80 reprises au départ d'un Grand Chelem. Il a atteint les demi-finales 53 fois, soit 66,25 % du temps. C'est irréel.

C’est la fin d’une belle histoire. Après 5 années riches en passion, en écriture, en débats et en partage, cestquoilecinema.fr ferme ses portes.

J'en suis le premier attristé mais on va continuer de partager la passion autrement et ailleurs. De belles années à écrire, à partager la passion pour le cinéma. Avec de (très) bons amis.

Robert Redford, icône du cinéma américain des six dernières décennies, est mort mardi matin dans l'Utah à l'âge de 89 ans, selon le New York Times.

Écouter les Sparks sera toujours un bon remède à la tristesse.

Sword of Doom (1966), dir. Kihachi Okamoto

La série Ripley n'est pas seulement splendide formellement, elle dégage un sentiment d'insécurité, de malaise hitchcokien. Le sociopathe brillamment incarné par Andrew Scott voit en Caravage le portrait de son âme déchue, laissée en mer depuis la nuit des temps. Formidable.

Quelques années ont passé et Le Voyeur de Michael Powell reste toujours immense à mes yeux, condensé d'un cinéma qui osait tout, jouant avec les tabous sans oblitérer la sensibilité d'un personnage hors normes, littéralement.

In memoriam

#OneBattleAfterAnother est un drame formidable qui capte son présent avec justesse dans une odyssée révolutionnaire qui ne regarde pas en arrière. Ça manque peut-être un peu de liberté dans la narration pour pleinement me convaincre. Mais bien des segments sont impressionnants.

On m'a fait croire que Sirat est une merveille de cinéma. À défaut d'être pitoyable, sauvé par sa première partie, j'en retiens une certaine vision abjecte de l'humanité, manipulant les images en jouant gratuitement avec les névroses du spectateur. Dommage, ça partait bien.

Guess the film.

Quand j'en suis sorti il y a 2 jours, les défauts me sont apparus en premier. Aujourd'hui, je vois surtout les qualités, qui sont grandes. Peut-être pas le chef-d'oeuvre impérissable qu'on veut nous vendre, mais du cinéma comme on n'en voit plus que trop rarement. Allez-y.

Hong Sang Soo face à Sirat

Le prochain épisode de Midnight Cowboys est en cours de montage ! Une chronique centrée cette fois-ci sur un film d'un cinéaste né à Tulsa, qui a commencé dans la photographie.

Un nouvel épisode sur cette pépite qui ne peut pas laisser de marbre. Très content d'avoir pu en discuter avec l'ami Ax

the collector (1965) / william wyler