Nous vivons aujourd'hui une époque de borgnes. De ceux qui n'ont qu'un œil pour pleurer. Les victimes de Gaza ou celles du 7/10 : jamais les deux. L'autre œil est mort. Et moi je me souviens de ce que j'ai vu, à Ar Ruqi. En plein désert, en pleine guerre. Un p'tit thread...🧵⤵️

🚩🚩🚩 Bonjour à tous, on avait un fil préparé pour vous, mais on a une urgence et on a BESOIN DE VOUS. Nous cherchons un hébergement temporaire, de demain jusque mi août max, pr une personne adulte rendue précaire par la révélation des abus subis. Bordeaux. En DM svp. RT ++

Rappelons-nous que tout figure déjà dans la préface à Mademoiselle de Maupin, comme d'habitude

C’est la saint Augustin aujourd’hui et il y en a qui doutent encore de son intérêt, alors je me permets de vous partager le travail qu’il m’a permis de mener depuis un an sur la crise des violences sexuelles dans l’Eglise et ailleurs. 1/7

Une écoute nécessaire pour continuer à avancer en dépit de la déferlante de crimes sexuels sur des enfants ou des adultes, dans l'Eglise et dans la société plus largement. Croyants ou non, parents ou pas, en gardant l'espérance chevillée au corps.

En moyenne, nous, les utilisateurs de réseaux sociaux, scrollons 90m par jour. La hauteur de la statue de la liberté. Mais ce n'est pas tout : Parmi nous, il n'y a que 3% de comptes toxiques, conflictuels, mais ils produisent 33% des contenus. De même, 80% des fake news sont

Je ne résiste pas : On est bien d'accord qu'une boussole est ce qui nous guide pour aller vers un point donné, à l'exclusion de tous les autres ? 🤦

*In petto, curieux d'entendre sa réaction à une déclaration du même type : "Eric Lombard devra accepter d'être moins payé"

Cessons, cessez, de parler d’humiliation de Zelensky. Cette séquence en dit long sur le tempérament de "bully" de Trump et Vance. Mais ce n’est pas parce que l’on veut vous humilier que vous l’êtes.

Il y a quelques jours, John Illsley - bassiste et co-fondateur de Dire Straits, désormais artiste peintre - a interprété Brothers in Arms. Robbie McIntosh - guitariste des Pretenders et de Paul McCartney - en pleine retraite lui aussi, réalisé un truc énorme. Brothers in Arms |

La suite de l'histoire du carnet. Aujourd’hui, j’ai rencontré Yumeto Suenaga, le fils de Taneo et Kiyoya Suenaga. Il a feuilleté avec émotion le carnet de voyage que j’avais trouvé. Il connaissait bien ces voyages, mais ce carnet ? Un mystère. Il ne s’en souvenait pas.

Encore un qui est fâché avec les maths.

« Dans le fond, le photographe, comme ce qu'il emploie, doit être une surface sensible. » Robert #Doisneau au Musée Maillol

Bref. On peut caresser l’idée de mourir avec un certain soulagement, mais quand on est au pied du mur, je ne suis pas certain que nul ne chancelle.

La vie est sacrée. Moi qui il y a sept ans étais heureux de pouvoir mourir – ah, j’ai oublié de vous dire, je suis passé, par la grâce d’une biopsie, de « cancer incurable » à « début de rémission », ça m’a fait tout drôle –, je suis heureux de vivre.

Je suis heureux de vivre, malgré toutes les souffrances de la vie. Je ne sais plus quel philosophe a écrit que toute vie vaut d’être vécue quelle qu’elle soit. Quelle qu’elle soit. Même la pire vie vaut d’être vécue. C’est puissant.

Ça ne veut pas dire que je veux par ce fil me dresser absolument contre la légitime nécessité de pouvoir abréger, parfois, de vaines souffrances. (De quel droit le ferais-je, d’abord ? D’aucun.)

Ça veut dire qu’il n’existe pas de réponse facile à ce problème et qu’il faut être d’une grande prudence sur un terrain où il y a plus d’écueils que de planches de salut.

Ça veut dire, surtout, que le principe même de la vie doit toujours primer sur ses contingences, faute de quoi on bâtit un modèle de société où la mort devient la solution aux problèmes de la vie, ce qui me paraît être une assez bonne définition de l’enfer.

Alors non, ce projet de loi sur la « fin de vie » n’est, en dépit des apparences et de quelques cas qui plaideront inévitablement en faveur de cette illusion, pas un projet progressiste.