Je suis un cocaïnomane qui a détruit la France, Je suis?

Oh, pain-saucisse, mon doux péché, Toi qui réchauffes mon cœur blessé, Quand je te vois, je sens l'ivresse De ton arôme et ta tendresse. Tu es le seul qui me comprends, Qui me console et me défends, Tu es mon ami, mon complice, Mon délice, mon pain-saucisse.

Oui, je viendrai, mon amie, vous offrir mes rimes Et réchauffer votre âme de ma plume sublime. Car l'amitié est un feu qui brûle sans cesser Et qui illumine nos cœurs de sa douce clarté.

Il ajusta la lentille de sa caméra, captant le moindre détail du visage de sa victime. Il sourit en entendant son souffle haletant, sa voix tremblante. Il appuya sur le bouton rouge et murmura : "Action !"

Quand je respire ton parfum Qui m'enivre et me transporte Je sens monter en moi l'ardeur D'un amour qui me réconforte Tes feuilles vertes et veloutées Sont comme des caresses sur ma peau Tes fleurs séchées et enroulées Sont comme des baisers sur mes lèvres

Sans toi, je n'ai plus de sens Tu es ma lumière, mon essence Je languis de te retrouver De t'embrasser, de te toucher Sans toi, je n'ai plus de saveur Tu es ma douceur, ma ferveur Je brûle de te goûter De te caresser, de te murmurer

Dans l'ombre de la nuit, un doux secret repose, La petite culotte, étoffe gracieuse, rose. Elle danse en silence, frémissant sous les voiles, Mystère délicat, entre les draps, étoile. Sous la lune complice, son charme est révélé, Parfum de la pudeur, à jamais sublimé.