New sulfide deposit discovered on the Norwegian continental shelf offshore-mag.com/special-report…

9 milliards de tonnes de charbon par an, 4,5 mrds de T de produits pétroliers, 3 mrds de T de gaz naturel et 10% de plus de cette énergie de combustion en biomasse, le monde de l'énergie serait en "transition". Ressassez cette ânerie, vous finirez par convaincre!

Dans un climat géopolitique alangui, les cours du dollar US et du baril de produits pétroliers se déprécient. Bien sûr, cette lassitude, peut, brusquement, cesser au moindre pétard qui éclaterait vers Téhéran, Taïwan ou tout autre détroit oriental.

France, à fin Juillet, les productions d'électricité en croissance et des fournitures domestiques étales (450 TWh/12 mois) ont favorisé le solde des échanges. Les consommations domestiques stagnent à leur faible niveau historique.

La prise en compte des émissions de CO2 des mammifères et autres gallinacées à hauteur de 10 GTCO2/an majore à la fois les émissions et les puits. Un calcul par itération simple conduit, dans l'hypothèse de rejets constants, à un état d'équilibre atmosphérique vers les 600 ppm.

Les pronostics mensuels de consommations de produits pétroliers en 2024 sont actualisées à plus de 103 Mbarils/jour par l'Administration américaine (EIA). Y croire ou pas est juste une question de conviction.

L'OPEP continue de réduire son pronostic de consommation globale de produits pétroliers tout en annonçant qu'il va délivrer plus. Une clé pour comprendre un marché assez déboussolé. L'évidence d'une croissance dynamique des volumes enlevés devrait, un jour, prévaloir.

Un historique et des prévisions de consommations globales de produits pétroliers, maintenant animés par l'Asie. Une progression des flux de 15 millions de barils/jour par décennie. A mesurer sur le temps long, liée à la recherche de bien-être matériel de milliards d'individus.

Les teneurs atmosphériques en CO2 au mois de Juillet 2024, publiées par le NOAA, se sont accrues par rapport à celles mesurées en Juillet 2014 de 25,7 ppm. La pente de ce segment, parallèle à une tangente à la courbe [CO2]= f(temps) mesure la croissance quadratique du [CO2].

Il était, une fois, la révolution énergétique:

Dans un monde où la génération globale d'électricité croît, les émissions de CO2, liées à ces opérations, ne pourront décroitre que lorsque les croissances décarbonées assureront la progression totale. La préférence de l'Asie pour le charbon, peu onéreux, renforce cette condition

Cours du Cuivre et celui du pétrole ont divergé depuis quelques mois. Une séparation qui ne saurait durer, avec un probable raffermissement des cours du pétrole.

Après les deux décennies de frénésie chinoise de combustion de fossiles et de biomasse, voilà les autres grandes nations asiatiques (Inde, Indonésie...) qui rejoignent la Chine. C'est, pour l'instant, sans espoir.

Le Cobalt, métal diabolique, composant traditionnel des électrodes positives d'accumulateurs électrochimiques et de divers pigments décoratifs de terres cuites, est, en ce moment, à la ramasse. Nul ne sait quel sera son cours dans un an, peut-être, entre $20 et $80 le kg.

Après les fantasmes de gigafactories, voici que se profilent les gigabanqueroutes annoncées. Le progrès technologique ne s'est jamais déroulé sans anicroche industrielle. latribune.fr/entreprises-fi…

IEA: les ressources énergétiques décarbonées (nucléaire, hydraulique, vent, soleil) ont assuré 10% des fournitures mondiales d'énergies primaires.

IEA: le charbon, économique, abondant, simple à mettre en œuvre, sur le point de devenir la première ressource énergétique mondiale. Il reste, encore, en seconde position après les produits pétroliers.

Un baril de Brent à $75, ce n'est, ni plus ni moins, que l'équivalent, actualisé, du cours à $60 quinze ans auparavant. Un cours d'équilibre sans menace géopolitique majeure, entre hostilités frontalières au Moyen-Orient et dépression chinoise.

En 2022 les trois grands d'Asie (Chine, Inde et Indonésie) ont brûlé 68% de charbon du monde, 22% des produits pétroliers et 11% seulement, de gaz naturel mondial pour une moyenne de fournitures d'énergies primaires de 34%.