Vous ne devinerez jamais lequel des pays étudiés par mon collègue de Columbia se classe en tête des pertes de PIB causées par la paperasse : - 45,8 % des entreprises 🇫🇷 se disent contraintes, - le coût agrégé est estimé à quasiment 4 % du PIB.

Ce type de pensée a somme nulle est très fréquente dans le grand public et ntm en France et dans des périodes + difficiles. C'est bien sûr en grande partie absurde mais sans doute très intuitif spontanément, un biais qu'il faut avoir en tête. Voir scholar.harvard.edu/files/stantche…

Thread rapide sur une étude de cette année s'intéressant aux exonérations sur les bas salaires dont voici le sommaire, par quelques graphiques (on ira lire les parties 3 et 4 qui sont uniquement textuels).

"Ras le bol du Pib, je préfère la mesure X ou Y" Le mesure X ou Y : corrélée à 90% avec le Pib.

Je vis à l’étranger donc c’est un peu facile pour moi de dire ça mais ne partez pas. D’abord la France c’est pas si mal sur plein de dimensions. Tous les pays ont leurs problèmes, et il en a toujours été ainsi. Les États-Unis vont se fermer. Le reste de l’Europe a aussi ces

Excellent article de Jean Tirole A lire absolument. latribune.fr/article/idees/…

Ça me tue. L'AME a un réel intérêt d'un pdv de la santé publique, ça a des externalités positives même pour ceux pas concernés. Mais on préfère s'attaquer à ça alors que ça n'a aucun impact sur le budget en ignorant l'éléphant au milieu de la pièce.

Zut, encore bloqué par quelqu'un parce que j'ai osé demander des sources à ce qu'il affirmait 🤷‍♀️

"50 milliards d’euros, voilà le vrai déficit de notre système de retraites" Afin de parvenir à un accord politique, les partis discutent actuellement de la possibilité de «suspendre» la réforme des retraites adoptée en 2023. La logique des élus est compréhensible : depuis 2022,

Je suis faible, je viens de backer ça gamefound.com/en/projects/aw…

Un aspect remarquable du discours de ceux qui s’opposent à la retraite par capitalisation, c’est qu’ils n’y comprennent manifestement rien. Un petit thread pour remettre les pendules à l’heure s’impose.

"Longtemps, la croissance économique a été corrélée aux dommages environnementaux, parce que nous n'avions que les combustibles fossiles à notre disposition. Ce n'est plus le cas", assure Hannah Ritchie

Il faut s'imaginer en 2050. On regardera les arbitrages budgétaires de 2025 et comme le nez au milieu de la figure, on verra le transfert d'argent à la faveur d'une seule génération de retraités qui aura causé une dette colossale et une dégradation terrible de services publics