Faire une revue papier, c'est compliqué. Surtout quand on choisit de rémunérer tous ceux qui ont participé à sa conception. Mais dans ce monde d'immédiateté et de contenus vite cliqués, vite avalés, nous sommes persuadés que le choix de fabriquer un objet à un sens profond.

Parce qu'un objet, ça résiste au temps, ça laisse une trace. C'est ce que nous avons envie d'offrir aux personnes qui participent à nos ateliers. Parce qu'ils nous confient des récits et des histoires qui valent d'être entendues, diffusées, discutées. Aujourd'hui comme demain.

L'ambition, c'est aussi que notre manière de faire du journalisme, à l'intersection de l'éducation populaire, avec les personnes concerné•es, permette d'offrir aux lecteurs un objet singulier, qui les déplace dans leur appréhension du monde, et pourquoi pas dans leurs pratiques.

[LE PETIT DERNIER EST NÉ !] Merci à toutes et à tous de votre participation ! On a hâte que vous découvriez tous ces récits à la croisée de l'éducation populaire et du journalisme ✨🙏 Il est encore temps de commander kisskissbankbank.com/fr/projects/co…

⛵️ Les séjours de rupture ​​permettent à des ados en difficulté de s’éloigner temporairement de leur environnement. C'est dans ce cadre qu'Ingo, jeune de Gennevilliers placé à l’ASE depuis ses six ans, est parti sur un voilier un mois. Il raconte sur le BB 👇 ✍️ Dzlk Margaux

Seine-Saint-Denis : la préfecture veut envoyer des jeunes de quartier loin des JO 💬 « Je ne vois pas en quoi c’est rendre service à nos gamins de ne pas les faire profiter des JO » bondyblog.fr/enquete/seine-…

🗞️ Une enquête de Névil Gagnepain David Attié Dzlk Margaux et Mathilde Boudon-Lamraoui à retrouver en accès libre sur notre site ⬇️ bondyblog.fr/enquete/seine-…

Dossier 🗂️ Paris 2024 : les Jeux olympiques sous enquêtes Seine-Saint-Denis : la préfecture veut envoyer des jeunes de quartier loin des JO Enquête de David Attié, Mathilde Boudon-Lamraoui, Névil Gagnepain et Dzlk Margaux (Le Bondy Blog) l.mediapart.fr/fsH

Depuis 2 ans, le BB organise des ateliers d’éducation aux médias avec des jeunes du centre socio-culturel Aimé Césaire, à Gennevilliers. @coraliechvn s’est rendue au dernier atelier pour suivre un cycle de vidéo :

Salut ! La Friche lance le n°3 de sa revue Contre-Jour, intitulé le Seum. Ce thème, on l'a choisi au moment des révoltes après la mort de Nahel, pour faire une place à la colère, en laissant la place aux récits des premières et des premiers concerné·es. youtu.be/cjCbhvkxZ_Y?si…

On a besoin de vous. Chaque contribution peut faire une différence. Chaque partage peut changer la donne, pour qu’on puisse rémunérer toutes les personnes qui ont participé à ce 3e numéro et rester indépendant·es. kisskissbankbank.com/fr/projects/co…

La revue Contre-Jour met en lumière les récits de ceux qu’on n’écoute jamais. Des quartiers de Clichy-sous-Bois aux rues de Londres, de la Palestine aux plages de Mayotte, notre 3e numéro, « Le Seum », fait résonner la colère et l’espoir des invisibles.

Salut à tous ceux qui restent ! La Friche lance le troisième numéro de Contre-jour : Le Seum. A retrouver sur kisskissbankbank.com/fr/projects/co…

💬 « Comment est-ce possible d’avoir rendez-vous deux fois par mois pour emmener mon fils à l’homme qui veut me tuer ? » Dans les affaires de violences conjugales, lorsque l’autorité parentale est confiée à la mère, le père peut, sur ordonnance du juge, avoir un droit de visite.

Un droit de visite médiatisé destiné à préserver le lien parent-enfant. Sans tenir compte des plaies encore vives pour les mères. Un article de Dzlk Margaux à retrouver en accès libre sur notre site et sur celui de notre média partenaire, Mediapart bondyblog.fr/societe/violen…

« Violences conjugales : quand conserver le lien avec le père se fait au détriment de la mère » : il faut lire ce reportage de ⁦Dzlk Margaux⁩ mediapart.fr/journal/france…