[critique] Belinda Mathieu La Peau entre les doigts, danse humide bit.ly/3PUbKnw Le.a chorégraphe Catol Teixeira continue d’explorer les porosités de sa danse, ici avec la salle et le public. A voir ce week-end dans le cadre du festival Échelle Humaine de Lafayette

[critique] Belinda Mathieu Pour Tânia Carvalho, le Tanzmainz mute en créatures étranges urlr.me/y1H7C Dans « Mysterious Heart », la chorégraphe portugaise collabore avec l’ensemble de danse contemporaine allemand, qui embrasse son univers singulier, comique et étrange.

[critique] Belinda Mathieu « DUB », ou le ballet des danses urbaines bit.ly/dubdianor « DUB », ou le ballet des danses urbaines à la @maisondeladanse

[critique] Belinda Mathieu Les « R·onde·s » changeantes de Pierre Rigal urlr.me/7jd8P Avec sa dernière création, le chorégraphe entraîne sept interprètes dans une farandole qui ne cesse de se transformer pour faire virevolter les imaginaires.

Le capitalisme tue. Le capitalisme a toujours tué. La preuve avec une belle leçon d'histoire venue des inondations dans les Pays-Bas du Moyen Âge ! Un thread ⬇️

[critique] Belinda Mathieu « Bless This Mess », ou jeter son corps dans la fête urlr.me/bpcnJ Lancé dans une danse percutante qui explose sur un beat électro rapide et dense, le quatuor mené par la chorégraphe Katerina Andreou offre un miroir au chaos du monde.

[critique] Belinda Mathieu « Fun Times », avant la fin du monde urlr.me/fH6Kj Ruth Childs questionne l’amusement dans une ambiance grinçante. Ses quatre complices déploient un cabaret déjanté et précis, où plaisir et malaise cohabitent pour montrer que s’amuser devient

[critique] Belinda Mathieu « Dynasties » : sous les strass, la lutte des classes urlr.me/ESvDe Matthieu Barbin, connu sous le nom drag Sara Forever, dévoile un premier spectacle pour les théâtres. Dans ce seul en scène entre glamour et fantaisie, les parcours des pop

[critique] Belinda Mathieu Les danses chevaleresques de Marinette Dozeville urlr.me/XQ657d Avec « C’est comme ça que don Quichotte décida de sauver le monde – Acte 2 », la chorégraphe orchestre une pièce pour neuf danseuses et activistes, et déploie une utopie féministe

[critique] Belinda Mathieu « Specky Clark », le virage narratif d’Oona Doherty urlr.me/BesSwZ La chorégraphe met en scène une fresque qui façonne un mythe autour de son histoire familiale. Le destin de Specky soulève des questions de violence patriarcale et de classe

[critique] Belinda Mathieu « Une échappée » magique, avec trois fois rien urlr.me/vSdeCJ La chorégraphe Julie Nioche déploie un univers inventif et féérique pour deux interprètes, qui imaginent des mondes grâce à des objets d’apparence banale.

[critique] Belinda Mathieu « Arrebentação », la zone de soin de Catol Teixeira urlr.me/ctyH6F Lae chorégraphe et ses quatre acolytes nous font pénétrer dans un espace liminal à la matière dense, où les corps nous transforment.

[critique] Belinda Mathieu « [Superstrat[ » tisse des liens entre danses traditionnelles africaines et hip-hop urlr.me/P3bgeT La chorégraphe Anne Nguyen dévoile un solo pour l’interprète ivoirien Mark-Wilfried Kouadio, qui déploie les connexions entre danses africaines

[critique] Belinda Mathieu « MOS », ou le bal des danseurs-bruiteurs urlr.me/Pfn98h Avec ce duo, la chorégraphe grecque Ioanna Paraskevopoulou déplie une danse du bruitage ludique, à la frontière entre le cinéma, le théâtre d’objets, la performance et les claquettes.

[critique] Belinda Mathieu « FUGACES », le flamenco réinventé d’Aina Alegre urlr.me/AFc9R7 La co-directrice du CCN de Grenoble déploie une chorégraphie teintée d’un flamenco déconstruit, et réinventé pour sept interprètes, qui rend hommage à l’icône du genre, Carmen

[critique] Belinda Mathieu Thomas Lebrun branché sur la fréquence de l’amour urlr.me/wmk5cK Avec « D’amour », le chorégraphe offre une ode radiophonique à l’amour contre le harcèlement scolaire, en invoquant le cabaret et la pop culture en chansons et en danse.

[critique] Belinda Mathieu « Four New Works », le retour en demi-teinte de Lucinda Childs urlr.me/7z3ceD La chorégraphe revient avec quatre nouvelles pièces qui font rayonner la simplicité hypnotique de son approche du mouvement, mais dont l’austérité peine parfois à

[critique] Belinda Mathieu « Arrebentação », la zone de soin de Catol Teixeira bit.ly/4l35yYs Lae chorégraphe Catol Teixeira et ses quatre acolytes nous font pénétrer dans un espace liminal à la matière dense, où les corps nous transforment à Points communs

[critique] Belinda Mathieu « 1GUH WATCH » : l’hommage au dancehall de Tamara Alegre urlr.me/ASZXcQ La chorégraphe espagnole réunit des pointures du dancehall pour faire jaillir, dans un joyeux désordre, la force contestataire et festive de cette danse.

[critique] Belinda Mathieu « High Gear » de Kidows Kim, mélancolie et DIY urlr.me/ebEAqk Tel un fantôme flottant dans une décharge, le chorégraphe nous entraîne dans une aventure existentielle et cathartique, entre le monde des vivants et des morts.