Comment ne pas aimer Manet et ses fleurs souvent peintes ?

Ce Joueur de flûte (1955) de Chagall, comme un feu d’artifice

Cet extraordinaire autoportrait de Dürer (1493)

Monet peint un sous-bois dans la forêt de Saint-Germain (1882), et c’est magnifique

Turner et l’embrasement du ciel

L’admirable lumière des tableaux de Vermeer, ces couleurs pleines, ces drapés délicats, ces entretiens qui disent plus qu’une scène de vie quotidienne - une intimité dérobée -, et cette fenêtre ouverte, toujours

Dans la plupart des tableaux de Monet, il y a des fleurs, comme cette superbe Arrivée à Montgeron (1876)

Manet et les fleurs

« Tu peux, à l'heure que tu veux, te retirer en toi-même. Nulle part, en effet, l'homme ne trouve de plus tranquille et de plus calme retraite que dans son âme. » Marc Aurèle

Le peintre Émile Friant dévoile une forme d’élégance dans cet intérieur d’atelier (1882)

L’œuvre de Miró comme un poème

Splendeurs des ruines à Delphes, avec la vastitude du ciel et les brumes caressant les montagnes

L’Antinoüs du Vatican, devenu Dionysos Osiris

Le bonheur enserré et le risque saisi

À Giverny réside la beauté des fleurs et celle de la lumière de l’été

Giverny encore, ou peut-être le Japon

Quelle superbe photo de Nicolò Miania !

Qu’est-ce qui rend singulières les œuvres de Cézanne ? Pourquoi, par exemple, cette huile sur toile, « Sucrier, poires et tasse bleue » (1865-1866), est belle ? Est-ce le bleu de la tasse, l’esquisse des fruits, ce tremblé maitrisé qui fige l’instant d’une scène révolue ?

Les Champs d’iris, près d’Arles (1888) Van Gogh et l’esprit du beau, toujours

Écouter Miles pour l’atmosphère et l’élégance