Elle sait qu'elle est belle, Nastassja. Mais elle n'en fait pas une histoire. Elle est gentille, aimable, attentionnée, touchante. Elle a souffert. Elle peut bouder parfois, mais se ravise vite. Elle n'aime pas voir souffrir. C'est une tactile. Elle est très attachante, elle vit.

JULIE en un seul chapitre !

For Fathers's Day, do follow Paul : choose a nice book !

Orson Welles dans Le criminel (1946) réalisé/joué par lui. Il incarne avec intensité le rôle d'un nazi concepteur du génocide qui se cache ds le Connecticut. Oeuvre mineure artistiquement ds sa carrière. Par aileurs, son premier film noir. Avec Edward G. Robinson et Loretta Young

Entièrement d’accord. Hommage à #HughesGall

Sur la même image mémorable, Julie Christie et Dirk Bogarde ou le cinéma anglais dans toute sa splendeur : Darling chérie, un film (cruel) de John Schlesinger (1965)

Peut être sa sœur

Janine Darcey

Fête des mères

Elle l'appelle Bogey, li l'appelle Slim (la maigrichonne). Ils ne vont plus se quitter jusqu'à la mort de lui.

Dans Le sauvage de Jean-Paul RAPPENEAU, Yves MONTAND incarne un « nez » comme on dit dans l’industrie du parfum. Il tente de se débarrasser de Catherine Deneuve sublime et collante et qui squatte au toupet l’île refuge de Montand-Crusoé. Une des meilleures comédies de Rappeneau.

Le chat et le plateau du petit déj' : un thème cher à François Truffaut (ici dans L'homme qui aimait les femmes, 1977) Il y en a au moins un autre dans La peau douce (1964), grand film massacré à Cannes où il fut incompris.

Dans cette scène - une des + touchantes de Tirez sur le pianiste -, Truffaut a demandé à Charles Aznavour de compter sur ses doigts jusqu'à dix avant de se risquer à embrasser Marie Dubois. Ils sont ds la rue de dos, les doigts se lèvent l'un après l'autre. 6, 7, 8... Et puis non

Il y a aussi, dans Le jardin des Finzi Contini de rares moments de bonheur, au début du film, quand Micol (Dominique Sanda) devient une belle jeune fille. Ensuite, l'horreur et la dignité dans l'horreur. Un film qu'on n'oublie pas.

Merci bcp, c’est très conseillé, on dirait.

Dominique Sanda dans Le jardin des Finzi Contini de Vittorio de Sica.

La conductrice au regard triste. Une chose est sûre: ce n'est pas parce qu'on porte un chapeau cloche qu'on l'est (cloche) - bien au contraire. (la chère Michèle Morgan dans Pourquoi viens-tu si tard? (1959)